Les questions qui fâchent
Posted on | décembre 15, 2012 | No Comments
Notre étonnement est grand devant le projet de destruction-reconstruction de l’avenue du Port.
Nous avons cherché à comprendre comment une telle chose avait pu voir le jour, quels schémas de pensée, quels phénomènes de société produisaient ce type d’aménagements.
Voici quelques éléments de réponse :
1. La mobilité est-elle une fin en soi ?
2. Bruxelles-Mobilité ne devrait-elle pas évoluer et s’appeler plutôt Bruxelles- Proximité?
3. Pourquoi détruit-on au lieu d’entretenir?
Ecoutez le court extrait ci-dessous
4. Pourquoi faut-il chasser les grands arbres de la ville?
Ecoutez le court extrait ci-dessous
Ecoutez le court extrait ci-dessous
5. L’élection est-elle le dernier mot de la démocratie?
6. Notre patrimoine : nos racines
Rénover, plutôt que détruire, c’est aussi une exigence morale : le bâti existant est le fruit du travail humain antérieur. Le déjà-là incorpore le génie, la culture et les savoir-faire, les souffrances et la fierté des hommes qui nous ont précédés. La rénovation est un acte de respect, de civilisation : elle est une reconnaissance, une justice rendue (René SCHOONBRODT).
7. Le technocrate n’est pas le démocrate
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